De la naissance d’un roman

De la naissance d’un roman

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C’est ironique, mais il y a un an presque jour pour  jour, je vous disais que ça bouillonnait. Il me semble qu’après avoir :

J’ai plutôt bien tenu parole, non ?

Sauf que… tout ceci n’est que la partie émergée de l’iceberg… Parce qu’en sous-marin, j’ai testé et travaillé sur plein de trucs différents :

Quoi Pourquoi Résultat
Wattpad Je voulais explorer les moyens modernes de diffusion des écrits, and go against native english writers.

C’est de la merde ! Oh pardon, c’est sorti tout seul. Ça pue le marketing de pacotille et la médiocrité, rien que le formulaire de soumission est à se pisser de rire dessus. Le dernier endroit où chercher de la créativité. Ici, on passe tout au bulldozer du conformisme et on plastifie ce qui reste du cellophane de la romance de bas étages (parce que oui, la romance peut être noble, demandez à Cyrano).

J’en retire cependant une chose : ça m’a forcé à traduire, un exercice que j’avais toujours était réticent à explorer.

Panodyssey L’irrésistible besoin de répondre à des concours pour me forcer à sortir de ma zone de confort.

Tout l’inverse de Wattpad. Je n’étais pas venu pour ça pourtant, comme quoi…

J’ai beaucoup écrit (deux concours avec 4-5 catégories à chaque fois), c’était le but. (voir ci-dessous en conclusion).

L’IA Besoin de comprendre et d’explorer le phénomène dans le contexte de l’écriture de romans.

Écrire un roman en IA ? Ha, ha, cette blague. Non ! Vraiment on n’y est pas encore (believe me, I tried hard.) Je développerais peut-être un jour sur mon expérience, mais pour faire court : disons que sur une échelle de 1 à 10 de qualité d’écriture de fiction, l’IA est à date autour de 3 ou 4 (je parle bien de fiction, ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit).

Par contre, incroyable apport pour sublimer les textes (Illustrations, accompagnement musical, traduction).

Nouvelles idées de manuscrits J’en avais 3 en tête qui me turlupinaient J’en ai dédié 1 à mes explorations IA (on en reparle à l’occasion). Il en restait donc deux, et c’est trop. « À la fin il ne peut en rester qu’un« . (et c’est le sujet de cet article)

Alors pourquoi tout ça ? Mais parce que c’est mon processus créatif qui m’y oblige. Je ne PEUX PAS attaquer un nouveau manuscrit quand je viens d’en finir un… Il y a une sorte de crise post-partum qui me paralyse. Je ne veux pas lâcher mes personnages, mon histoire, mon univers. Si je le fais trop tôt j’ai l’impression de les trahir. C’est comme ça, il faut que je me perde dans autre chose, que je donne un grand coup de languette sur l’ardoise magique pour repartir à zéro.

Et après une frénésie de concours et de challenges, hier, en pleine rédaction d’un petit texte poétique : le déclic ! La boule d’idées, de personnages, de sensations, de scènes, de situations… s’est ouverte et scindée pour devenir un vrai concept.

Je vous annonce donc le futur bébé, nom de code :

KARA


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