Rencontrez Oric et Kara.
Je n’en suis pas encore à la caractérisation complète des personnages. Quand ce sera le cas, je me fendrais d’une petite note de présentation publique pour chacun d’entre eux.
Pour le moment, je m’attache à voir comment l’histoire de chaque personnage se rattache à l’histoire du récit, ça reste encore très « technique » au sens dramaturgique du terme. Mais il s’est passé plusieurs choses très intéressantes. En effet, en creusant l’intrigue des deux protagonistes :
- « Kara » prend donc un rôle majeur, elle sera ni plus ni moins que la coprotagoniste (ce n’était pas si évident jusque là… et ça restera compliqué, car elle a un rôle assez distant, mais indispensable.)
- Une idée de dialogue m’est venue, que j’ai aussitôt notée au format brut dans mes notes pour ne pas en perdre l’essence (très clairement dans la continuation de Ma Valkyrie, ce texte ayant donc un impact multidimensionnel sur le récit, à la fois d’impulsion créative, mais aussi d’atmosphère émotionnelle). C’est assez fréquent dans ces moments où les parties rationnelles et créatives s’entremêlent, et c’est important de ne surtout pas les brimer et de savoir les capturer. C’est ce que j’appelle mes moments de « fulgurance créative » 😉
- L’imbrication avec l’intrigue générale fait du sens, j’ai même déjà apporté quelques ajustements aux éléments de base pour m’adapter à ce que les protagonistes ont à faire et à dire. (notamment en décalant la partie scandinave de trois siècles, car pourquoi utiliser du folklore et des légendes existantes, quand on peut, en fait, en être l’origine même…)
- De claires ramifications naissent vers les embranchements des autres personnages et intrigues.
Bref, c’est très prometteur, je vous laisse avec une vue d’ensemble, leurs noms, et des stats 😉 et moi j’y retourne, parce que l’histoire ne va pas se monter toute seule avec juste un couple blafard sorti de nulle part.
À noter que les résumés sont plus longs que celui de l’histoire… Ça aussi c’est bon signe, car ce sont les personnages qui font l’histoire, et cela démontre qu’ils ont plus à dire et à faire que ce que j’avais prévu initialement.
